Bojour Corinne!
Ta réflexion est prégnante. La musique, celle de J.S. BACH, l'orgue, notamment, donne des ailes à ma propre réflexion; je fugue avec les fugues, une sorte de coma léger dans lequel le corps et l'âme dévient de leur trajectoire commune, un ressenti d'apensanteur. Alors le présent conduit au futur, à l'ultime, une impression, anticipée, de partir vers l'éternité. Une sensation réelle qui m'habite à l'écoute de cette musique, sublime.
Amitiés.
Claude.