Cher Philippe,
Les répétitions créent un rythme lancinant, comme ce bombardement incessant, une image assez obsessionnel d'un peuple qui souffre. L'insouciance et le bonheur sont-ils encore possibles ?
Néanmoins, il y a de l'espoir dans ton texte car même blessé, le cèdre s'en sortira.
Amitiés
eve
P.S : un petit "t" manque à "peut".